La future politique du logement va-t-elle résorber les causes de la crise de l’immobilier ? …
📌 Capacité d’emprunt des ménages affaiblie en raison de la hausse des taux, entrainant plus la baisse de la demande, (côté taux, bonne perspective d’assouplissement de la BCE en ce mois de septembre, poursuite de l’embellie ?).
📌 Toujours sur la hausse des taux. Les bailleurs sociaux empruntent pour construire ou rénover à un taux fixé en fonction du taux du livret A, or, face au logement social en forte demande…
📌 Augmentation des coûts de l’énergie et des matériaux, et l’envolée de l’inflation.
👉 L’accès au foncier se raréfie, la densification a mauvaise presse, frilosité des communes à délivrer des permis de construire.
📌 Le diagnostic de performance énergétique (DPE), ses règles de calcul, ou les successions de normes sur les dix dernières années.
👉 Explosion des prix au mètre carré dans certains départements.
📌 La pression et la complexité fiscale : entrainant des taux plus élevés que les autres pays de l’OCDE, l’incompréhension de l’immobilier, la multiplication par deux de la taxe foncière, augmentation des taxes sur les énergies, …
📌 L’encadrement des loyers limitant les investisseurs.
👉 La saturation de la location saisonnière, les changements démographiques (croissance, séparation, cohabitation, vieillissement).
👉 Généralisation du travail à distance et surcapacité des locaux d’activité (bureaux, commerces).
📌 Les incertitudes chez les acheteurs et vendeurs face au climat politique instable, et aux promesses des différents partis.
…Ou comment le nouveau gouvernement va s’emparer des conclusions de la mission d’information sur l’accès des français au logement ? : http://bit.ly/3XzEViW